Lesourire de ma mère - Une année avec Léonard de Vinci de Plongez-vous dans le livre Marie Sellier au format Poche. Ajoutez-le à votre liste de souhaits ou abonnez-vous à l'auteur Marie Sellier - Livraison gratuite à 0,01€ dès 35€ d'achat - Furet du Nord
Je crois que ça demande d'être total abandonné, donc confié totalement à "l''autre", ne pas craindre d'être vu, de se montrer, pour ne pas fuire le regard de l'autre.. car c'est en lui aussi qu'on y voit soi. alors aurions-nous la peur de nous-même, au fond !? la peur de ne ce que nous pouvons y rencontrer ? Il me semble pour ma part que c'est cet abandon qui fait peur.. peur de se perdre, mais qui ne reste qu'une sensation de l'égo, on est d'accord.. accroché à ce qu'il CONNAIT. Or, c'est précisemment l'égo qui est amené à se fondre dans une vraie rencontre d'amour. L'amour est Feu, et l'égo a peur du feu. si l'Acte, a un sens, c'est sans doute bien pour ça.
Monpère se promène dans les yeux de ma mère Ajouter au panier. Résumé "Le silence d'une maison où l'enfance s'est tue, prêt à rejoindre les étoiles". Joël Vernet nous emmène dans les burles de son pays rustique, les beautés de "ses" paysages, à l'écoute de son école, de son instituteur, dans la rudesse néanmoins si douce, les émerveillements et les privilèges de Fragiliser la vie pour la garder» un hymne à la mère d' Hélène noté en bas de la page 36 Dieu n'a pas d'yeux. Il n'y a pas Dieu.» Avant, il y avait toujours Dieu chez Cixous, au téléphone, caché dans son buisson ardent. Mais, désormais, il lui faut s'habituer à l'absence d'abonné au numéro demandé, celui de Jacques Derrida, l'ami à jamais. Il faut le temps, comme dit Hölderlin, que le manque du Dieu lui vienne en aide. Mais s'il n'y a pas Dieu, il y a toujours le secret, l'écriture du secret, qui fait qu'on voudrait donner Cixous à manger au lecteur, le faire communier même si le mot messe, ça n'est pas kasher». Prenez, ceci est la peau du monde. Un peau ouverte, accueillante à la mort donc vivante, absolument vivante. Celle de sa mère, Eve Cixous, à qui la narratrice s'adresse dès la première page C'était avant la fin du temps, pensais-je, le temps d'avant la fin. Je n'avais encore jamais vu une si fine splendeur. Soudain j'étais avertie que j'approchais le point, je vis que je voyais luire la vie. Il y en avait partout. Elle jetait ses derniers feux, surtout dans les feuillages et dans l'air. Et aussi dans les larges yeux de ma mère que l'âge lui met de plus en plus en avant. Tu es le temps lui dis-je. Lui me travaillait toute.» Les motifs de cette exposition au sens musical vont se développer au long du livre, l'engendrer. Les yeux que le temps fait à la mère sont les cloques d'une maladie qui lui ronge la peau, la couvre d'ulcères ces yeux crevés» regardent la narratrice qui, chaque jour, oint sa mère de pommade On ne peut pas ne pas utiliser la cortisone, on doit fragiliser maman pour la garder en vie la fragiliser, fragiliser la vie pour la garder.» Nous voilà rendus à la si fine splendeur» de la peau amenuisée, presque parchemin où s'écrit le monde, presque le voile de la vérité. Hyperrêve se constitue comme tentative non pas sans doute contre la mort, mais avec elle. Celle-ci n'est d'ailleurs ici qu'interruption». La fiction, le rêve, le souvenir en font un point, une focale, une façon de voir les choses par-dessus laquelle Eve saute allègrement à coups de çamrappelle». Ainsi déplore et se réjouit-elle, se ressouvenant de sa jeunesse berlinoise Tous ces gens déjà morts dont je me souviens si bien.»Hélène Cixous adore mettre sa mère en scène, rapporter ses paroles. Ce sont à chaque fois les moments les plus tendres et les plus drôles de son oeuvre. Il y a là comme un cinéma de l'origine mais oui, Cixous est un écrivain de l'origine, de l'Orient, de tout ce qui s'ouvre, de la préhistoire comme elle le dit, presque muet, burlesque mais oui, Cixous fait rire, ne prenez pas cet air pincé de vieux modernes Elle abat le poisson, dis-je. Tu ne l'as pas vu l'acheter, dit mon frère. Elle n'achète rien sans parapluie. Pas celui-là. Avec son parapluie elle montre l'autre. Elle ne parle pas. Elle ne répond pas. Elle lève son parapluie. Celui-là. Autrefois je n'aurais jamais supporté. Elle montre les radis avec son parapluie.» Parfois, on pourrait faire des schémas, une scénographie de Cixous. Dans Hyperrêve, il y aurait l'axe des abscisses et celui des ordonnées. Les tours» à la verticale, celles du 11 Septembre, la tour de Montaigne, mais qui sont ici aussi les jambes de la mère si la Tour notre mère notre corps notre sexe a brûlé cette nuit». Et à l'horizontale, un curieux sommier, récupéré par Eve auprès de Walter Benjamin quittant Paris, allant vers la mort. Le sommier se retrouve à Arcachon, dans la maison de vacances. Personne ne le savait, la découverte de cette origine fait rire, le frère de la narratrice a pourtant dormi des années dessus C'est qui Walter Benjamin ? Tu dors depuis quarante-quatre ans sur le sommier de Walter Benjamin, dis-je. Emeus-moi, dit mon frère/ Je l'émeus longuement. [...] Tu n'as rien senti ? Je tâte mon frère. J'ai toujours trouvé ce sommier épouvantable.»On ne vous apprendra rien en vous disant que toute cette histoire se lit évidemment phonétiquement émeus-moi» s'entend aussi aime-moi» et, dès le début, la phrase prononcée par la fille à la mère dans le temps d'avant sa mort, tu es le temps», est une promesse de tuer le temps». Comment ? Par une conversion» peut-être comme celle des métaux en or tiens, il y a un titre de Cixous comme ça Or, les lettres de mon père qui assure une pérennité Tant que ma mère est là mon ami vit encore, me dis-je», et aussi Je ne peux pas dire à ma mère que chaque fois qu'elle m'échappe elle me laisse tomber elle est mon père tombé.» Tous les livres d'Hélène Cixous forment un orbe où les êtres perdus reviennent d'eux-mêmes, parfois», même si on ne les retrouve pas». A sa façon, une des phrases qui ouvrent le livre on peut toujours perdre plus» prouve cette éternité. 9 'Les yeux de ma mère' - Frankie Valli et les quatre saisons. Paroles marquantes : 'Le cadeau de Dieu envoyé d'en haut/Un véritable amour désintéressé/J'ai trouvé dans les yeux de ma mère' Les paroles de Suce ma bite de Paage ont été traduites en 1 languesDe racailles, bon il faut dire les choses comme ça Euh moi j′ai vu un peu ce qui se disait sur les réseaux sociaux Les gens de tous horizons étaient absolument unanimesIl faut qu'la police tire à balles réelles dans ces cas-là Non mais Ah bah si Ferme ta gueule et suce ma bite Suce suce Grosse queue Ferme ta gueule et suce ma bite Grosse queue Ah bah si Ferme ta gueule et suce ma bite Ah bah si Grosse queue Ah bah si Ferme ta gueule et suce ma bite Ah bah si Si Grosse queue si, si, si, si... Ce raciste me traite de singe, j′trouve ça bizarre Car quand j'arrive c'est lui qui se cache dans les arbres Askulusku Askulusku sale J′emmerde Lepen, Éric Zemour La vie d′ma mère, mère J'leur fais l′amour J'emmerde tous ces putain de racistes Ferme ta gueule, imagine Fier de mes origines, ma couleur ébène est magique Ca fait ta-ta-ta, j′m'écoute Nekomata J′les vois comater J'me branle très tôt l'matin J′fais du sale, j′fais du mal Niquer des mères, c'est la base Étoile posée sur le cœur Adolf Hitler n′est qu'un leurre Ferme ta gueule Sale Ferme ta gueule Pute Ferme ta gueule Suce Ferme ta gueule Ferme ta gueule, amen Ferme ta gueule, amen Ferme ta gueule, amen Amen Amen Amen Amen Amen Ferme ta gueule et suce ma bite Grosse queue Pute pute pute Ferme ta gueule et suce ma bite Suck my dick Grosse queue Sale Ferme ta gueule et suce ma bite Bite bite Grosse queue Sale Ferme ta gueule et suce ma bite Sale sale Grosse queue Ferme ta gueule Ferme ta gueule amen Ferme ta gueule Ferme ta gueule amen Ferme ta gueule, amen pute Ferme ta gueule, amen suck my dick Ferme ta gueule, amen Amen Amen Amen Amen Amen Ferme ta gueule et suce ma bite Grosse queueWriters Fronton Jeangher Créezgratuitement votre compte sur Deezer pour écouter Dans les yeux de ma mère par Nach, et accédez à plus de 90 millions de titres. Nach. Dans les yeux de ma mère. Nach | Durée : 02:27