Voilal'idée :- Jouer dans une grande ville balnéaire avec beaucoup de touristes et donc de jeunes avec le jeu - Mettre 2 ou 3 leurres sur des PokéStops rapprochés au niveau de la plage pour Quand on croise un marin aviné au comptoir d'un bar côtier, celui-ci ne manque jamais l'occasion de narrer le dernier coup de pute qu'il a fait avec ses compères à une mouette chopée au large. Il s'agit en général de lui faire bouffer des roulements à billes et de regarder la pauvre bête clouée au sol sous les rires gras de ces rugueux marins. Ou de littéralement l’agrafer à une planche pour déconner. C'est certes cruel, mais ce sont bien ces gaillards au visage buriné par les embruns qui ont raison tant la mouette est un animal détestable. Les bonnes raisons de le penser ne manquent pas. La mouette fait tout le temps la gueule Tapez "mouette" dans Google images, et vous ne trouverez pas une seule mouette respirant la joie de vivre. Même la mouette rieuse semble avoir enterré toute sa famille dans la matinée. Si c'est pour tirer une gueule pareille, c'est pas la peine de s'installer sur la côte. La mouette est un nom "ambigu" Et même "vernaculaire ambigu" selon wikipedia. En effet, le mot "mouette" ne veut pas dire grand chose à part "oiseau côtier dans les blancs/gris qui gueule tout le temps". Un tel manque de franchise est irritant dans un pays qui s'est fait chier à débattre sur l'identité nationale. La mouette gueule tout le temps On en parlait à l'instant. On se dit parfois que le bonheur est parfois simple comme un réveil au son du chant des oiseaux. On oublie souvent de préciser "SAUF des mouettes". D'ailleurs, la mouette ne "chante" pas. Elle gueule. Un animal qui n'a pas compris qu'au lieu de gueuler, ce serait plus simple de se rapprocher de son interlocuteur ne mérite pas notre considération. Le mot "mouette" partagerait des origines étymologiques avec le mot "mauviette" D'ailleurs, est-ce qu'on dit "Courageux comme une mouette"? Ou "Richard Cœur de Mouette"? Et ben non... Tout est dit. La mouette bouffe n'importe quoi C'est un oiseau "omnivore", c'est à dire qu'il mange tout, mais surtout de la merde. Vous pouvez vous emmerder à préparer un plat équilibré à une mouette, délicatement parfumé aux herbes de Provence, la mouette ne verra pas la différence avec un monticule de vieilles saloperies trouvées sur le sommet d'une poubelle. Et le tri des déchets, la mouette s'en fout complètement. La mouette bouffe tellement n'importe quoi qu'elle peut gober ses propres œufs Il y a bien certains humains qui congèlent leurs gamins ou qui leur achètent des Crocs, mais bouffer ses œufs parce qu'on a la flemme de descendre chercher à bouffer, c'est quand même n'importe quoi. La mouette est un oiseau migrateur, sauf en Grande-Bretagne Partout où va la mouette, elle ressent le besoin de se tirer, sauf quand elle habite en Angleterre. Comme le footballeur. Et qu'elle ne nous raconte pas qu'elle s'installe à Wigan pour le climat ou pour le challenge sportif, on est pas complètement con non plus. La mouette est conne comme une brique En effet, la mouette migre de plus en plus vers l'Ile-de-France depuis quelques années. Alors que l'immobilier n'a jamais été aussi haut. Alors pourquoi? La mouette s'est certainement laissée berner par Paris-Plage. Même les touristes chinois n'ont pas été trompés par cette pantalonnade. On ne mange pas de mouette On peut se demander pourquoi, et avancer l'hypothèse que la mouette est un animal sacré pour les marins car synonyme de proximité de la terre ferme ou imaginer que l'animal est protégé par une loi à la con on se demanderait bien pourquoi, mais bon... mais il est plus vraisemblable que la viande de mouette soit dégueu parce que cet oiseau passe sa journée à avaler et à digérer des machins toxiques et des excréments d'autres animaux, déjà pas bien propres. On confond la mouette avec le goéland D'ailleurs, la photo illustrant ce top est potentiellement celle d'un goéland, animal majestueux et élégant. La mouette, animal fourbe s'il en est, est tellement méprisable qu'elle ne mérite même pas de figurer en haut d'un Top. bonus Elles ne respectent rien Nous SommesTousDesMouettes — Gaspard Koenig GaspardKoenig February 6, 2017 Et vous, vous êtes pour filer toutes les mouettes aux Anglais?

Çafait pas rire les mouettes ! Rénovation de la fameuse piscine baleine ! Pose de mosaïque émaux de verre collés et jointés à l’époxy ! Le changement est flagrant !!! • Dites nous en

[Intro Joe-G ]Clean, Joe-G, écoute le bruit d'la grande villeLes pots d'échappement[Verse 1 Clean ]J'vais pas te mentir fils, j'vais pas ralentirCrier, comme des gosses avec mes prochesOn veut juste grandir libre et j'ai plus d'idoleSi c'n'est l'alcool, devenu un penchant grilléAlors on s'brise et on tise jusqu'à se sentirVibrer, pour s'aider on a le cash dans laLigne de mire, ciel couvert de nuage dansMa ligne de tir, on tue l'temps 'vec nos armesEt nos amis de vice, leur nom le hasch etLa taille et on fait mine de rireEnfermé par les citées 'vec mes frères de cagesL'esprit miné j'me libère 'vec mon faire de skyJ'ai souvent l'air de ça, car la ville me vieillitTel un artiste aigrit XXXXXXXXXXXXJ'écris mes textes le soir, auteur de toutC'monde gris, aux heures où tout l'monde prieJ'écris pour mettre les voiles, c'est pas la gauleQui me lèvera quand viendra mon heureJ'serais levé de bonne heure, la nuit je cherche l'étoile[Verse 2 Joe-G ]J'ai dans la tête tant de rage, mec j'reste quandL'orage pète sec, j'rends hommage mais j'vaisPrendre le large, pas par peur d'aimer, manJ'ai juste peur d’airer, le drame j'ai le cœurSerré, c'est vrai parfois je lâche des pleurs, j'aiDes coups d'blues, quand vient l'heure d'étéPlus d'flouses, c'est dur, faut serrer les dentsJ'préfère quand les bouches s'ouvrentQuand j'ai plus d'groove et qu'ma mine estGrisée, quand ma rime est vidée j'm'appuieSur ma team c'est l'idée, ma troupe s'bougeElle rêve de plage, d'évasion, de mer de sableEt d'lagon, moi j'ai les pieds sur terre j'ai ratéL'avion, et j'suis à bout d'souffle, bordelJ'crois qu'c'est pas bon, j'en suis là, j'fais pasL'con, la vie c'est l'taff et à fond, et s'barreD'ce monde, gagner, s'cacher de l'ombre ouFlâner, j'aimerais me casser, marre de parlerDe bombe, de balle et de tombeOù sont passés nos rêves de gosse ?J'sais pas, perso l'matin moi j'me lève de force...[Outro Clean & Joe-G ]J'veux tout effacer, j'oublie le passéPour l'avenir, j'veux aller la où personneSera assez pour XXXX, j'ai la folie desGrandeurs, ici c'est Paris et j'en pleureJe reste solide tant qu'le public estD'mandeur mais j'aimerais partir et«ça fait rire les oiseaux» * et pas que les mouettes. La traditionnelle «Croisière aux oiseaux» organisée par Alsace Nature et LPO a eu lieu dimanche 27janvier 2019 sur le grand Canal d’Alsace et sur le tronçon des 3 Pays du Rhin .. Pierre Hiebert, capitaine de la sortie, a fait l’inventaire (28 espèces) et les commentaires avisés .Jean de Barry, avec sa fière allure de
Où l'on assiste – malgré l'ambiance feutrée des dimanches oscherins – à une fin de repas mouvementée. Je pense nous acheter un Porsche Cayenne », Thierry avait lancé après le traditionnel petit silence post-ristretto satisfait de leurs débuts de samedi après-midi au Château d’Ouchy. C’est pratique, c’est spacieux, c’est joli… » Il tentait de la convaincre en utilisant ce qu’il considérait sans doute comme ses arguments à elle ». Il allait faire un petit discours gentil sur ce que sa future voiture de prestige allait amener à leur bien-être au quotidien, sur le fait qu’elle y trouverait forcément son compte, et tout ça. Perdue dans les yeux de son chéri, Anne décida de se laisser convaincre sans opposer une quelconque résistance, ce qui allait lui permettre de penser au fait que John Barry était mort dans la semaine, et à quel point elle appréciait les bandes originales des vieux James bond qu’elle regardait avec son Papa quand elle était petite. Résistant à l’envie soudaine de fredonner le thème de Dr. No, elle glissa de quelques centimètres sur le confortable fauteuil blanc crème, assez pour pouvoir, par la grande baie, jeter un oeil sur le Léman gris-bleu, sans néanmoins passer pour la fille qui n’écoute pas ce qu’on lui dit. Par précaution, elle força ses oreilles à l’entendre un moment, … plus sûr, surtout pour les enfants… », ça allait, il n’avait pas changé de ton. Un jour, quelqu’un lui avait dit Tu n’attends même pas de savoir si tu vas t’ennuyer pour commencer à penser à autre chose ». A vingt-quatre ans, elle devait se rendre à l’évidence c’était complètement vrai. Il était vraiment chou, son chéri. Toujours calme, toujours sûr de lui, la grande classe en toutes circonstances, c’était aussi un homme aux goûts sûrs, très classique, mais ouvert sur l’extérieur, sur les nouvelles découvertes. Certes, depuis qu’il avait dégoté cette fameuse promotion chez Amelys, il n’avait plus tellement le temps de sortir, de lire, d’écouter de la musique, mais il faisait des efforts pour se tenir au courant. Il lui disait souvent c’est toi qui me sors de l’ignorance », avec un petit sourire qui passait, selon son humeur à elle, pour de la tendresse ou pour la légère condescendance des hommes qui savent que vous ne les quitterez pas de sitôt. Aujourd’hui, dans l’ambiance feutrée de beige et de noir du restaurant, elle était prête à opter pour la tendresse. Et à reconnaître qu’elle ne le quitterait pas de sitôt. Une mouette, au loin, s’était posée sur le ponton de bois qui dépassait derrière les pédalos hors de prix bâchés pour l’hiver, et Anne se demanda simultanément comment les mouettes faisaient pour rester immobiles si longtemps et, surtout, ce qui les motivait à partir à un moment donné – en dehors bien sûr des contrariétés du genre touristes bruyants sur le quai d’Ouchy, ou des occasions festives comme les mêmes touristes avec du pain sec. Petit détour par la conversation en cours, …une famille ». Toujours le ton calme et raisonnable, logique, avec cependant une intensité qui lui fit se dire il est chaud, là, je devrais avoir l’air encore plus intéressée »… Ce qu’elle fit de bon coeur, tout en se disant que bon, c’était juste une voiture. Mais il avait l’air d’y tenir. Elle allait le laisser se justifier un peu encore, et revint donc à son Léman, et à sa mouette. En l’occurrence, le froid de canard avait découragé les touristes, bruyants ou pas, avec ou sans pain, et Anne se demandait ce qui se passait dans son petit cerveau de mouette, ce qui l’avait décidée à se poser là, et ce qui lui ferait se dire bon, allez, c’est pas tout ça, mais là il faut que j’y aille, j’ai d’autres pontons à vérifier ». Un sourire s’installa en douce sur son visage, et elle espéra qu’il allait être à propos dans la conversation, qu’elle rejoignit soudain, attrapant de justesse une fin de phrase pour le moins énigmatique … écume émoussée ». Son sourire décida qu’il était peut-être temps de se faire discret, il y avait sans doute eu un tournant brusque vers quelque expérimentation littéraire… qu’il avait entendue à la radio un matin ? qui faisait partie d’un nouveau stage de management imaginé par le département RH de sa boîte, qui semblait décidément s’orienter de plus en plus vers un croisement entre le jardin d’enfants et le happening artistique ? Elle le regarda dans les yeux. Chercha une accroche, quelque chose, un indice qui lui permettrait de savoir à peu près de quoi il retournait à ce moment précis. Mais elle ne lut dans ses yeux qu’une expression étrange, mélange de sûreté et de doute, de douceur et d’excitation. Le silence ne dura qu’une fraction de seconde, mais elle décida de se jeter à l’eau Très joli… Très joli… », dit-elle, et son sourire lui lança un Ouais ! Tu y es arrivée, on l’a échappé belle ! », d’une voix qui cependant aurait tout aussi bien pu être totalement sarcastique… Thierry baissa les yeux le long de son bras droit. Comme hypnotisée, Anne suivit son regard. Le pli impeccable de sa chemise gris souris, épousant un avant-bras puissant. Au bout de l’avant-bras, son poignet, où l’on devinait quelques poils qui se révéleraient noirs d’ici ses trente ans. Au bout du poignet, sa main, rose et tellement douce. Dans sa main, une petite boîte noire ornée de velours noir. Et dans la boîte, une exquise bague d’or rose, avec un diamant parfaitement ciselé, enchâssé dans un petit nid de roses stylisées . Son sourire avait pris la fuite. Trop de pression, sans doute. Interdite, elle regarda la bague sans trop y croire, comme lorsqu’elle s’arrêtait pour voir les joueurs de bonneteau à un coin de rue, à Genève, s’attendant à deviner le truc ou à ce que la partie s’interrompe précipitamment à l’arrivée de la police. L’espace d’un instant, elle chercha désespérément dans sa mémoire le numéro de la police – le 117 ? le 118 ? le 112 ? Mais ça n’avait pas énormément d’importance, à cet instant précis, lui rappela son sourire, d’une voix certes urgente, mais plutôt éloignée. Un mouvement, au loin, lui fit lever les yeux. La mouette s’était envolée – sans doute en avait-elle assez vu, et allait derechef raconter toute la scène à ses copines mouettes, tiens, si ça se trouve, c’était pour ça que les mouettes riaient elles se foutaient de la figure des gens qui venaient prendre un café au Château d’Ouchy. Il y avait de quoi. Thierry était tendu comme une corde à piano, dans son regard dansait le catalogue complet des émotions – à l’exception, peut-être du dégoût, qui n’allait sans doute pas tarder si elle ne disait pas immédiatement quelque chose, n’importe quoi, là, tout de suite… A ce moment-là, s’interromprait désormais Anne à chaque fois qu’elle raconterait cette histoire, j’ai eu une vision, une vision de la mouette qui se posait sur le toit du Mövenpick pour aller fumer une clope avec ses copines – forcément, en plus, il y avait un vieux pélican qui fumait la pipe –, en disant vous allez pas croire ce que je viens de voir au Château »… Et puis il y avait la question, le fait de savoir ce que c’est que l’amour, jusqu’à quand il dure, ce qui fait d’un couple un couple qui dure, sa Porsche Cayenne, mes études, mes parents, son sourire à lui quand je l’avais rencontré, un peu gauche, et le mec sûr de lui qu’il était devenu depuis, et puis c’était quoi le numéro de la police, à la fin ? Alors, j’ai fait ce que toute personne saine d’esprit aurait fait dans ces circonstances J’ai explosé de rire. » Elle riait encore quand Thierry s’était levé sans un mot et était parti, avec sa boîte. A suivre… Photo © Marilyn Vega 2011. Arnaud –
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Vos gueules, les mouettes ! News Bandes-annonces Casting Critiques spectateurs Critiques presse VOD Blu-Ray, DVD Photos Musique Secrets de tournage Récompenses Films similaires note moyenne 2,6 49 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné Votre avis sur Vos gueules, les mouettes ! ? 12 critiques spectateurs 5 4 critiques 4 0 critique 3 2 critiques 2 3 critiques 1 2 critiques 0 1 critique Trier par Critiques les plus récentes Critiques les plus utiles Par les membres ayant fait le plus de critiques Par les membres ayant le plus d'abonnés critiques assassines et échec commercial, cet ultime film de Robert Dhéry comporte certes quelques lourdeurs et longueurs mais est bourré d'imagination; vu le titre, j'avais un peu hésité avant de le regarder mais dès les premières images le débarquement des caisses, je me suis dit que j'allais passer un bon moment de délire. On est parfois à la limite du pastiche ou de l'hommage à Chaplinle bateau qui tangue ou Laurel et Hardy les vagues entrant par le hublot.Sans prétention, ce film nous rapproche un peu du cinéma de Pierre Etaix et les comédiens ont du se marrer pendant le tournage. Que de mouettes...et de cocus! Ici il y a un dicton Quand le vent souffle à Saint-On, les filles ne savent plus ce qu'elles font ! » Sorti en 1974, "Vos gueules les mouettes !" est le dernier film de Robert Dhèry en tant que rèalisateur! Toute la clique chère au crèateur des Branquignols est là Colette Brosset, Micheline Dax, Jacques Legras, Christian Duvaleix, Pierre Tornade...et l'amusant Robert Rollis en cul de jatte qui circule dans une caisse à poisson! Rien ou peu à dire de ce cinèma de boulevard si ce n'est que c'est une comèdie burlesque mineure de Dhèry qui rit tout du long comme un âne! Un concours en Super-8 qui rèpond à un certain nombre de règles, de schèmas, de thèmes que l'on retrouve dans la pièce de thèâtre mais sans la fantaisie! C'est parfois drôle cf. la scène de la messe mais souvent lourd! Le Finistère sud est tout de même mis à l'honneur dans ce film, mèlange de douceur et de sauvagerie qui n'appartienne qu'à la Bretagne... Le niveau zéro de l'humour français.... et je pèse mes mots.... tout est absolument débile et sidérant de nullité dans ce gag des Branquignols qui ressemble vraiment à un pot de départ plutôt qu'à un film de cinéma. Nous atteignons là le fond de la cuve. Pas un instant ce film ne m'a fait sourire... je suis encore sous le choc qu'une pareille daube est été tourné avec des moyens financier..... dernier film de Dhéry et c'est normal.... et je ne suis pas breton..... "Vos gueules les mouettes" est un film burlesque français tombé dans un oubli pas totalement justifié. Si pas mal de gags traînent trop en longueur, d'autres sont vraiment très drôles, en particulier une fin en fanfare absolument irrésistible qui est le meilleur moment du film et qui mérite à elle seule sa vision. Bon, ben voilà une comédie pas réussie, typiquement années 70, avec un manque d’histoire flagrant et des gags plus que moyens, que les interprètes ne parviennent pas vraiment à effet le casting compte quelques figures connues de la comédie française de cette époque, avec Robert Dhéry, qui réalise aussi le film, Pierre Mondy qui s’empare du rôle principal, Micheline Dax aussi… bref pas mal d’acteurs plus ou moins connus aujourd’hui, qui ne font pas des folies. Leurs personnages sont franchement très légers, et les prestations des acteurs lorgnent nettement avec le théâtral, ce qui n’est pas forcément du meilleur effet. Dans l’ensemble je n’ai pas été très convaincu par les acteurs, qui n’ont visiblement pas été scénario est très basique. En fait on est dans une sorte de pièce de théâtre avec une succession de gags plus ou moins et souvent moins heureux. Quelques bonnes idées peuvent surnager encore qu’il faudra avoir l’état d’esprit de l’époque pour apprécier, mais dans l’ensemble c’est très très moyen dans le phare il y a du très lourd. C’est pas imaginatif, c’est redondant il y a des gags qu’on nous assène 5 fois à la suite, et comme il n’y a aucune histoire pour tenir tout cela on finit franchement par s’ennuyer malgré la durée courte de cette le résultat n’est pas vraiment plus enthousiasmant. L’ambiance bretonne est peu exploitée malgré la présence des bigoudens, des bagads et autres éléments folkloriques locaux, mais c’est plus au niveau des décors que c’est peu enthousiasmant. Le film sonne souvent toc, et se passe plus dans le bistrot local et dans des intérieurs en carton-pâte qu’au milieu des paysages bretons. La photographie est correcte, mais sans plus, et musicalement on peut parler d’un ratage, malgré une introduction prometteur et un certain Gérard Calvi, assez connu, à la bande son. Là-dessus il faut ajouter une mise en scène plutôt balourde et approximative, d'un Robert Dhéry qui, en tant que réalisateur n’a quand même jamais était une en somme Vos gueules les mouettes est une pantalonnade pas franchement drôle, superficiel et qui ressemble fort à un film de copain fait à l’arrache en quelques jours, pour s’amuser, mais qui ne fait pas rire grand monde hors du cercle restreint de ceux qui y ont participé. Je donne 1. Une comédie franchouillarde et sans moyen qui mise à fond sur le visuel, rythmée de quelques scènes qui font mouche, et où le gag est prioritaire sur la logique. Un concours super 8 pour cinéaste amateur est organisé par l'orft,le cinéaste incarner par pierre Mondy y voit là une chance,il décide de n'a pas un grand intérêt,elle est plus un prétexte aux les gags sont souvent poussifs,voir même les blagues sur le cul de-jatte,une fois ça passe mais Dhéry nous les faits toutes,en passant de comme sur des roulettes,à qu'est ce que tu veux quand on a pas de tête. La loufoquerie de certains gags fonctionne parfaitement,mais il n'y en a que trop l’ensemble le film est tout de même,une sorte de bric à brac,mal construit et limite débile,surtout sur la tout est agrémenté de scènesla danse par exemple qui n'ont rien à faire ici,et dont on se demande pourquoi elles ont été placés dans le le film n'a pas le rythme et d'aussi bon gags que le petit baigneur. Deux petites étoiles... Quelle déception ! Je me suis décarcassé pour retrouver ce film de R. Dhéry - parce que les critiques ici sont bonnes, parce que j'aime le cinéma de cette époque et parce que j'aime beaucoup le petit baigneur ! Mais voilà, le film ne se compare pas à ce dernier, rien à voir ! Tout est très inégal. L'humour, en premier lieu, tantôt très amusant, tantôt réellement ridicule ! Certains personnages nous tape sur le système dont celui campé par... R. Dhéry, le comble ! Finalement, ils sont peu à tirer leurs épingles du jeu, citons P. Mondy et R. Rollis. Pour résumer, un constat en demi teinte qui ne penche pas en faveur du film... On peut passer un bon moment mais il faudra excuser de nombreux défauts ! Bien avant Dany Boon et les ch'tis, les Branquignols avaient réussi à nous faire hurler de rire à grands coups de clichés sur les Bretons. Certes ce n'était pas toujours d'une grande finesse mais il n'empêche, on rit rarement en continu tout au long d'un meilleure preuve est que j'ai vu ce film il y a une quinzaine d'années et que j'en garde malgré tout ce temps un excellent souvenir. Vivement qu'il repasse à la télé ou qu'un DVD sorte ! Avec toutes ces chaînes câblées... Un film copié sur une vieille VHS depuis longtemps affacée. Quelques souvenirs ! dont l'interprétation fameuse de Robert ROLLIS le cul de jatte ! Sans oublier Christian DUVALEIX, Pierre MONDY, Pierre TORNADE... Les Branquignols y étaient quasi tousLe décès de Robert DHERY aurait été l'occasion de sortir une collection de ces films. En vain ! Si quelqu'un en a une copie, qu'ils n'hésite pas comment ne pas aimer ce film? une imagination débordante autour des divers symboles de la bretagne; des dialogues à mourir de rires et des acteurs géniaux. je ne comprend pas pourquoi vos gueules les mouettes est introuvable autant en cassette vidéo qu'en dvd ce film est génial mais quel dommage de ne pas le trouver dans le commerce ! si quelqu'un sait ou le trouver, qu'il me le dise merci ! Les meilleurs films de tous les temps Meilleurs films Meilleurs films selon la presse
Ama tête de Mouette déconfite, il poursuit : "Moins et moins en maths, ça fait plus, alors mon sapin moche et ta guirlande moche ben ça va être super joli". Madame Mouette hésite entre crise de larmes et éclats de rire. Elle balance toujours. C'est ça Monsieur Mouette rattrapes toi aux branches. Malheureusement, je ne m'appelle pas

Si le mari de Liliane revenait au monde et qu’il fût confronté à de ces journalistes qu’on trouve de nos jours en rayons ; qu’il lût les gros titres à la une des hebdomadaires, toujours plus suffisants, plus insultants à l’encontre des dirigeants que le peuple majoritairement s’est choisis, se contenterait-il du fameux Taisez-vous, Elkabach » ? Nous ne demandons pas des journalistes confits de déférence, obséquieux à l’ancienne comme le gendarme Cruchot devant l’adjudant Gerber. Non. Nous savons aujourd’hui apprécier les pointeurs de langue de bois, balayeurs de faux-semblants, dénicheurs de contradictions. Au besoin même un brin d’irrévérence courtoise, d’obstination polie peut, en poussant l’interrogé dans ses retranchements, faire surgir du juste, du vif, de l’humain. Quelques journalistes de cette sorte existent encore. Jusqu’à quand ? Car l’heure est à la surenchère dans le dénigrement, au jeu de massacre, au chamboule-tout. On se paye la tête d’Hollande après celle de Sarko, celle d’Ayrault après celle de Fillon Est-il si nul ? », Le voyou de la République », Sont-ils nuls ? », Les apprentis », On se réveille ? », On arrête avec les bêtises ? », Pourquoi il n’y arrive pas ? », sur le ton que prenaient nos vieux profs pour humilier les cancres, mais de préférence à la forme interrogative, par un restant de prudence et de tartufferie. Peu importe la tendance politique du fou », du voyou » ou du nul » après la droite visée pendant cinq ans, c’est maintenant la gauche depuis six mois, aussi outrageusement. Il n’y a plus de camp politique, juste le camp d’une petite caste endogène qui prétend se faire l’écho de l’inquiétude des Français, en fait hantée par la concurrence des réseaux sociaux » ou taraudée par l’envie de dynamiser les ventes en dézinguant les chefs, vieille passion gauloise. Sur les ondes, le journaliste rivalise d’insolence avec l’histrion à sabots, autoproclamé humoriste », qu’on invite dans le journal pour mettre un grain de sel, n’est-ce pas ? dans une actualité si fade, un peu de sourire dans une conjoncture si sombre. Jubilation, quand, après le feu roulant de questions perfides et de réponses interrompues, on soumet un ministre à sa vulgaire caricature, on lui demande même d’en rire. Et nos élus de se soumettre aux injonctions de ces bateleurs qui masquent leur médiocrité dans l’abaissement du seul pouvoir légitime, qu’au fond d’eux ils jalousent. C’est justement parce que la démocratie a besoin d’une presse intelligente, vigilante, et respectable qu’on doit dénoncer la dérive actuelle. Aux emplumés de basse-cour qui prétendent parler en notre nom en ridiculisant les responsables politiques, en montant en épingle la moindre bévue, en extrapolant le moindre lapsus, en zappant les événements au lieu de les creuser, en excitant l’inconstance naturelle de ce peuple au lieu de la tempérer par l’analyse et la réflexion, quelle personnalité autre que M. Mélenchon osera surenchérir sur Georges Marchais jadis et lancer en direct à ces palmipèdes infatués Vos gueules, les mouettes. » ARION Le BLOG

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ça fait pas rire les mouettes